Réflexions de rentrée
Un blog… enfin ! C’était une promesse, sans cesse reporter à plus tard. Cette fois, c’est une réalité. Un blog pour quoi faire ? Je veux être clair : pas question de pénaliser ceux qui n’ont pas accès à Internet. La Lettre de ce mois en témoigne. Si vous n’avez pas Internet, vos poèmes seront publiés régulièrement… si vous m’en adressez bien sûr et dans la limite de la place disponible !
La disparition de Robert Goin, notre président d’honneur est d’abord ressentie, par tous ceux qui l’ont connu, comme une grande peine. C’était un homme charmant toujours disponible et pour beaucoup une mine d’informations considérable.
Le Printemps des poètes 2010. Le programme est bouclé (à part les après-midi de l’Office de Tourisme), mais de grandes inquiétudes sont apparues quant au maintien de la subvention du conseil général du Cher (courrier de Yann Galut, vice-président chargé de la culture, parvenu courant juillet). La diminution voire la suppression de cette subvention, un peu moins d’un tiers de l’aide globale, aurait des conséquences négatives sur la programmation de cette manifestation. même si la ville de Bourges augmentera son aide, comme cette année. Nous réfléchissons…si vous avez des idées...
Les poètes sur les ondes : des Souffleurs de vers (Radio Résonance) à La minute de poésie (RCF en Berry), les Poètes en Berry sont présents sur les radios locales. Deux styles d’émission avec le même souci : faire entendre la poésie…
Les rencontres du vendredi : le quatrième vendredi de chaque mois nous nous retrouverons au Hameau de la Fraternité, le lieu est sympathique, seule inquiétude, encore une, le nombre de participants... Berruyers et voisins : venez nous voir. Quant aux rencontres du deuxième vendredi, nous cherchons un lieu. .
La Nouvelle République : j'ai appris avec tristesse la disparition prochaine de La Nouvelle République à Bourges. En cette époque difficiles où fleuriront les débats à tous les niveaux de notre société, la disparition d’un journal, après celle du Courrier Français, est un nouveau mauvais coup porté à la démocratie berruyère. Je regrette qu'au nom de la rentabilité, la liberté d'expression soit bafouée. Un journal qui disparait, c'est un espace de liberté en moins. Malgré tout, nous poursuivrons notre action, mais à partir du 1er octobre prochain, plus rien ne sera comme avant.
La disparition de Robert Goin, notre président d’honneur est d’abord ressentie, par tous ceux qui l’ont connu, comme une grande peine. C’était un homme charmant toujours disponible et pour beaucoup une mine d’informations considérable.
Le Printemps des poètes 2010. Le programme est bouclé (à part les après-midi de l’Office de Tourisme), mais de grandes inquiétudes sont apparues quant au maintien de la subvention du conseil général du Cher (courrier de Yann Galut, vice-président chargé de la culture, parvenu courant juillet). La diminution voire la suppression de cette subvention, un peu moins d’un tiers de l’aide globale, aurait des conséquences négatives sur la programmation de cette manifestation. même si la ville de Bourges augmentera son aide, comme cette année. Nous réfléchissons…si vous avez des idées...
Les poètes sur les ondes : des Souffleurs de vers (Radio Résonance) à La minute de poésie (RCF en Berry), les Poètes en Berry sont présents sur les radios locales. Deux styles d’émission avec le même souci : faire entendre la poésie…
Les rencontres du vendredi : le quatrième vendredi de chaque mois nous nous retrouverons au Hameau de la Fraternité, le lieu est sympathique, seule inquiétude, encore une, le nombre de participants... Berruyers et voisins : venez nous voir. Quant aux rencontres du deuxième vendredi, nous cherchons un lieu. .
La Nouvelle République : j'ai appris avec tristesse la disparition prochaine de La Nouvelle République à Bourges. En cette époque difficiles où fleuriront les débats à tous les niveaux de notre société, la disparition d’un journal, après celle du Courrier Français, est un nouveau mauvais coup porté à la démocratie berruyère. Je regrette qu'au nom de la rentabilité, la liberté d'expression soit bafouée. Un journal qui disparait, c'est un espace de liberté en moins. Malgré tout, nous poursuivrons notre action, mais à partir du 1er octobre prochain, plus rien ne sera comme avant.